Saraya Inuyaka. [Validée]

Nom : Inuyaka.

Prénom : Saraya.

Age : 20 ans.

Sexe : Féminin.

Orientation sexuelle : Bisexuelle.

Position(s) préférées : A peu près toutes, du moment qu’elle ne se casse pas quelque chose.

Statut : Élève privilégiée.

Histoire :

Un ange…
Saraya était un vrai petit ange, quand elle était enfant. Ses parents, comblés, ne pouvaient s’empêcher de vouloir l’exposer aux yeux de leurs amis. Normal, une petite fille de parents français, née dans le pays soi-disant des vampires, cela amusait beaucoup. La Roumanie avait été la première patrie de la jeune enfant. Sa mère, Cora et son père Thomas étaient tous deux français mais, sur un coup de tête au moments de leurs 22 ans a tous les deux, ils étaient partis en Roumanie, dans la région de la Transylvanie. Pourquoi la Transylvanie, me direz vous?
Car Cora vouait un véritable culte à ce pays et, enceinte de six mois, elle désirait que son enfant voie le jour dans cette patrie magique qu’elle adorait par-dessus tout.

Deux mois plus tard, deux bébés magnifiques vinrent au monde. Saraya et son frère jumeau, Seth. Les deux enfants s’entendaient parfaitement, jusqu’à ce jour funeste.

Un jour comme aucun enfant ne devrait avoir à vivre. Saraya et son frère venaient d’avoir trois ans et demi, et leurs parents les avaient emmenés vivre en France. Leur grande maison en plein village de campagne avait pignon sur rue, et les petits enfants avaient l’habitude de jouer sur la route d’ordinaire déserte, juste devant la maison. Le ballon rouge qu’ils s’envoyaient l’un à l’autre échappa à Saraya et roula sur la route.

De sa démarche vacillante de bébé, Seth courut sur la route pour le rattraper, ignorant le tracteur conduit par un paysan ivre de vin qui fonçait sur la petite route terreuse. Le choc fut fatal. Seth fit un vol plané de plusieurs mètres avant d’atterrir, sans vie, sur le sol. L’agriculteur n’avait toujours rien vu, et roula sur le fragile petit corps, le brisant encore plus qu’il ne l’était déjà et détruisant chaque parcelle de son corps. Immobile, le regard fixe, la jeune sœur du cadavre frais restait face à ce drame, sans être capable de bouger ou de parler.

Depuis cette funeste fin de soirée, jamais Saraya n’avait été la même enfant. Elle restait renfermée sur elle-même, ne parlant qu’à de rares personnes.

C’est ainsi que, bien des années plus tard, alors qu’elle était partie vivre en Angleterre, le soir de ses treize ans, elle se plongea une aiguille dans le bras pour échapper à ses souvenirs douloureux. Depuis ce jour, jamais elle n’a passé une journée sans être sous l’emprise malheureuse de substances illicites, la seule chose qui lui fait oublier ce qu’elle n’a jamais pu oublié.

A peine deux mois plus tard, elle poussait la porte de bois d’une gargote sombre et lugubre à souhait, dans le seul but de noyer ses déceptions dans une bonne dose d’alcool. Deux hommes discutaient dans le fond du bar, et elle s’assit a la table juste derrière la leur pour entendre leur conversation. Ils parlaient d’un projet d’ouvrir une école, si elle comprenait bien.

Saraya ne voyait aucune utilité à rester ici, et elle se leva donc pour payer puis partir. Elle n’avait pas traversé la moitié de la salle qu’un homme puant la vinasse et visiblement totalement ivre l’interpella, lui saisit le bras et la jeta sur une table.

« Laissez moi!!! Laissez moi » Hurla la jeune fille terrorisée.

Il lui tint les poignets et l’immobilisa. Saraya s’attendait presque a se faire taper dessus mais, à l’instant ou le poing de l’homme se leva, une main fine mais forte l’arrêta. Celui des hommes avec des cheveux noirs bleutés venait de retenir le coup de l’agresseur de la jeune fille. Elle parla avec son sauveur et son ami toute la nuit, leur jurant de venir dans leur école une fois qu’elle serait créée et ouverte à tous.

Sans doute pensaient il que la parole d’une enfant de treize années ne valait rien, toujours est il qu’au petit matin, ils se séparèrent, et chacun partit de son coté.

Six ans plus tard, voila que la jeune fille devenue femme se tenait devant les portes majestueuses de l’école, désormais ouvert, et sentait son cœur trembler d’excitation a l’idée d’entrer ici, et aussi de revoir les deux seules personnes qu’elles pouvait considérer comme des amis…

Physique :

Quand elle était petite, Saraya était considérée comme un petit ange aux yeux de tous. On pouvait les comprendre, ces fous. Avec ses longs cheveux couleur ivoire, et ses grands yeux d’un marron intense, elle avait réellement l’air angélique. Malheureusement, ses années de débauche et de perversité n’ont rien fait pour lui garder cet air d’enfant. De grandes cernes sombres sous ses yeux, lui donnent le regard d’un mort, et ses mouvements lents celui d’un fantôme. De fines mains, habiles et douces et des jambes interminables. Elle aurait pu faire mannequin dans la mode, si cela l’avait tenté, car elle se vêt souvent de vêtements magnifiques, des vêtements à l’ancienne comprenant des corsets, des jupes longues et des robes superbes, souvent dans des matières comme la soie, le satin ou le velours. Mais cela ne l’a pas tenté plus que cela car elle n’a jamais rien aimé faire, ni aimé personne, a part deux hommes.

Mental :

Particulièrement intelligente et maligne, Saraya aime à jouer parfois les idiotes, afin de parvenir a ses fins et d’obtenir ce qu’elle veut. Elle parvient sans trop de difficultés a manipuler ses semblables, surtout ses congénères masculins. Les seules personnes qui ont jamais résisté à ce « don » sont Alba et Aespectra. La jolie jeune femme aime a flâner dans les couloirs de l’imposant château, ou dans le parc qui l’entoure, sans but, sans penser a rien, sous l’effet de substances diverses et variées. Riche héritière d’une fortune se comptant en milliards, elle a renoncé a l’argent pour venir dans l’école des rêves oubliés, se fichant de la fortune, sauf pour acheter ce dont elle a vraiment envie, tel des vêtements anciens ou … des substances illicites. Elle respecte profondément Alba et Aespectra, car elle les connaît depuis qu’elle est toute jeune.

Particularités :

Un tatouage représentant une araignée entre les deux omoplates, juste au dessus de là où s’arrêtent ses corsets. Elle a également un autre tatouage sur le ventre. Un tatouage représentant le signe "Haine" en un kanji japonais.